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#impression

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Dans ma petite boutique il y a des illustrations pour tous les amoureu.x.ses de la nature, qui comme moi, s'émerveillent de chaque moment en forêt, au bord de la rivière... Car ces moments sont des rencontres avec les merveilles de la nature.
Dans chaque linogravure, c'est un souvenir précieux, comme peut l'être la biodiversité, précieuse et importante.

Bilan 2024

Voici le bilan pour l’année 2024 concernant mon activité d’écriture et tout ce qu’il y a autour.

Sommaire

  • Mes succès
    • Vente de la version numérique
    • Étude et vente de la version physique
  • Mes échecs
    • Campagne de financement participatif
    • Production de médias
    • Construction de réseau
  • Mes projections
    • Finir la création de la boutique en ligne
    • Traiter avec au moins une librairie physique
    • Faire un salon
    • Reprendre la production de médias
    • Reprendre l’écriture
  • Note de fin

Mes succès

Vente de la version numérique

Aucun souci notable, tout s’est bien passé ! Sur Kindle et Kobo. Enfin, y a pas trop de ventes… Mais ceci est un autre problème !

Je remets les liens ici :

Étude et vente de la version physique

L’année dernière, il était question de produire l’édition première. Et j’ai pu faire ce que je voulais : une version physique du livre, avec une mise en page entièrement personnalisée. Le rendu est fait grâce à la conversion de mon format générique maison (via pollen) en LuaLatex, qui génère un PDF.

Le pipeline de génération de PDF n’est pas parfait. Il y a des petits trucs à faire en plus à la main, comme convertir certaines pages dans un bon espace et profil colorimétriques, mais c’est du détail qui ne représente qu’une infime partie du travail.

J’aime beaucoup le résultat : une police plutôt grande, lisible, des libertés par-ci par-là qui rendent ce format unique.

Et j’ai même préparé deux livres différents : un en couverture rigide en production limitée, un autre en couverture souple en impression à la demande. C’était la première fois que je me confrontais à un imprimeur, à faire des devis. Vous pouvez consulter le label #impression pour trouver des infos relatives à ce segment de la chaine du livre.

Il y avait aussi tout un travail de compréhension de la chaine logistique du livre, notamment le fait de trouver comment référencer le livre chez les vendeurs.

Et je me suis également donné un peu de mal à faire une vidéo commerciale, avec une petite musique pour accompagner (là, c’est un gif sans audio, mais vous pouvez l’écouter sur la publication originale sur Instagram) :

Lien vers la version en impression à la demande : https://www.amazon.fr/Tel-Nuage-Bravant-Souffle-L%C3%89closion/dp/2958988236/

Si vous voulez m’acheter la version limitée en couverture rigide (21€), il suffit de me demander.

Mes échecs

Campagne de financement participatif

Ce n’était pas sur ma liste de l’année dernière, mais j’ai voulu tenter l’aventure. Cette campagne n’a pas fonctionné pour diverses raisons.

J’ai noté la plupart de mes remarques sur une page post mortem. N’hésitez pas à la consulter pour avoir un aperçu du travail nécessaire pour organiser une campagne !

Production de médias

Tout mon temps a hélas été pris par l’organisation de cette campagne dans la première moitié de l’année, et de ce qui en a découlé, notamment la production de deux versions de mon livre (couverture rigide et souple).

Il y a eu beaucoup d’échanges entre l’imprimeur et moi. Cela a pris d’aout à novembre, entre les premiers échanges et la livraison finale.

Et tout au long de l’année, je devais me renseigner sur comment commercialiser le livre, en plus d’avoir à créer mon activité. Cela a donc laissé peu de place à la créativité.

Construction de réseau

Toujours le même problème. C’est difficile de créer du lien dans ce monde…

Mes projections

Finir la création de la boutique en ligne

J’ai mis en ligne ma boutique en ligne. Mais les ventes ne sont pas encore ouvertes. J’ai quelques petits détails à régler, mais c’est quasiment prêt depuis plusieurs semaines, en vérité !

Traiter avec au moins une librairie physique

J’ai ainsi commencé à voir un libraire en direct en décembre dernier, mais la période de fin d’année étant très chargée pour eux, ce n’était pas le bon moment de les solliciter !

J’aimerais au moins faire l’expérience de traiter avec une librairie en direct, en circuit très court.

Faire un salon

J’aimerais aussi voir pour faire un premier salon de livres. J’ai un peu la phobie de ce genre d’évènements. Mais qui sait, peut-être que j’arriverai à dépasser cette appréhension du contact.

Reprendre la production de médias

De la musique, du dessin, et de plein d’autres choses ! Je n’ai pas du tout exercé mon art l’année dernière… Enfin, si, un peu de musique, pour le trailer mentionné plus tôt. Mais ce n’est pas assez à mon gout.

Reprendre l’écriture

Je compte écrire à nouveau. Peut-être la suite de TNBS. Peut-être autre chose. Du fantasy, ça me tenterait bien. Toujours à ma sauce, évidemment !

Note de fin

C’était donc une année étrange, parsemée de choses non créatives et d’administratif. Je ne m’attendais pas à ce que cela prenne autant de temps. Mais la bonne nouvelle est que je n’ai plus à faire ces choses !

Hello Mastodon,
comme nombreux d'entre vous, je fais partie de cette nouvelle génération de migrants numériques. En parallèle de mes réseaux déjà existants, je vais essayer de tisser une nouvelle toile ici et sur Pixelfed. Je suis artiste & sérigraphe, je fais de la peinture, du dessin, de l'illustration et des éditions en sérigraphies, livres, posters & popups.

إِصْـرْ (burden);

Well well well, 3 days of "vacation" passed already and I've almost got used to it and forgot to post here! We had some drama during this vacation so, it's like I needed more days. Sorry for not checking your amazing art folks, but hopefully I'll catch up soon.
Anyway, here is a shot I've made in the last week of 2024, and posting it now. The idea is about the "unnecessary" burden that we (or, most of us) might carry on our shoulders from the culture, the community, or family, as we go on in this life. The burden is not necessarily enforced, I'd argue, but sometimes it is just how we believe things should be for some issues in this life based on what or how our environment shaped us when we were younger. So, we keep on carrying that burden and drag it all along however messy it can get. Sometimes, the burden can be, simply put, a trauma or a negative experience, that we just can't or try so hard for years, to get rid of.
Technically now, I've decided to shoot this one with my macro 100mm lens instead of my usual 50mm, and the composition, well, definitely not a minimal one. Putting the whole thing in style of the previous shots probably would make it lose dimension and depth, and because of the structure itself, I had to put the camera in a lower level to get a glimpse of the carrying matchstick.

#stilllife #still-life #burden #miniature #impression #impressionism #impressionist #sticks #matchsticks #goodmorning

Il me semble qu’il y a quelques temps, j’avais causé impression avec @NemuLumeN, à propos d’images et de leur tenue dans le temps.

Je me suis donc demandé quelles méthodes pouvaient être utiliser pour imprimer des couleurs stables, et… la question m’a obsédé ! J’ai mis les pieds dans quelque chose d’aussi vaste que fascinant.

Je vous en livre quelques résultats dans ce fil !

Attention, c’est long.

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Réflexions sur le tarif de l’impression à la demande pour l’auto-édition

Cette question a occupé pas mal de mes réflexions en fin d’année 2023 : devrais-je préparer une version physique de TNBS ? Les obstacles sont multiples : financiers, éthiques, logistiques.

Au fil de mes réflexions, l’approche de l’impression à la demande + expédition direct au client m’a semblé la plus intéressante.

Mais très souvent, les tarifs proposés par les prestataires d’impression à la demande font que le pourcentage de revenus pour l’auteur n’est pas compétitif, lorsqu’un livre est vendu au prix communément admis dans sa catégorie et format. Je m’explique, juste après l’aparté qui suit.

Aparté sur une autre piste étudiée

L’autre piste consistait à imprimer pour constituer un stock et vendre soi-même. Mais elle comprenait de nombreuses contraintes :

  • Il faut commander en gros pour économiser sur les frais de transport et de manutention.
  • Il faut de la place pour entreposer les livres.
  • Il faut se procurer des enveloppes pour l’expédition.
  • Il faut étudier les services de transport pour déterminer le cout de livraison.
  • Il faut traiter chaque commande soi-même :
    • établir une facture,
    • emballer soigneusement,
    • faire l’étiquette de transport,
    • aller déposer le colis,
    • s’occuper du SAV.

Ça prend du temps, de faire tout ça !

Comparatif pour l’exemple : Amazon vs. concurrent français

Pour moi, un livre de 330 pages (ce que représente plus ou moins TNBS1, je pense) coute dans les 13 €.

Je vais également mettre en perspective les chiffres qui vont suivre avec la part que gagne un auteur sous contrat d’édition, soit environ 8% à 12%, selon ce que je lis sur le net.

Pour notre livre de 330 pages évoqué plus haut, regardons maintenant les redevances pratiquées par deux prestataires. L’un est Amazon, l’autre un imprimeur bien implanté en France dont je tairai le nom. Les redevances sont récupérées de leurs calculateurs. Et les services sont équivalents : fabrication et expédition direct au client, sans passage par une librairie physique.

Dans le segment des prix acceptables, le concurrent commence avec une redevance à environ 9 %. Amazon commence à 23 %. Sacrée différence. Par contre, le concurrent devient plus intéressant qu’Amazon en montant les prix… mais seulement quand le livre est littéralement hors de prix, à 22 € et plus. Et c’est sans compter leur abonnement annuel, car ils en ont un…

Si on en revient au prix acceptable, 13 €, vu que c’est le segment le plus populaire pour un livre pareil, on comprend que le concurrent a ajusté sa courbe de tarification pour se faire le plus d’argent à ce prix de vente. Et pour les livres plus chers (beaucoup trop chers pour un client, s’il fallait le préciser), il reste gagnant, car le livre est de toute manière vendu bien plus cher que son cout de fabrication, qui est fixe, évidemment…

Ce qui est amusant, c’est que le concurrent pousse l’auteur à vendre son livre plus cher, en lui faisant miroiter une redevance plus importante. Mais comme le prix devient prohibitif pour les lecteurs, l’auteur vendra surement moins d’exemplaires. On se retrouve ainsi avec une situation où l’auteur est forcé de sacrifier soit son revenu par vente, soit des ventes tout court à cause du prix trop élevé.

Au prix acceptable, le concurrent ne laisse ainsi à l’auteur que ce qu’il aurait gagné en tant qu’auteur chez un éditeur classique.

Dit autrement, le concurrent s’octroie au final la part qui revient à l’éditeur, au diffuseur, au distributeur, et au libraire. Rappelons que c’est vous, en tant qu’autoédité·e, qui avez la charge de relire, de corriger, de mettre en page, de fournir l’illustration de couverture, de démarcher, de faire la pub, de réseauter… Et puisque c’est de l’impression à la demande, il n’y a aucun stock à entreposer et gérer, pas d’investissement initial, donc aucun risque. Donc pourquoi c’est si cher ?

Comme j’ai ressenti ça comme une forme d’arnaque (le mot est un peu exagéré, mais je n’en ai pas trouvé de plus adapté), c’est pourquoi je n’ai pas poursuivi avec l’imprimeur concurrent susmentionné.

Je veux bien qu’une différence de qualité puisse justifier un certain écart, mais là, c’est abusé. Et qu’on ne vienne pas me dire qu’Amazon n’est pas rentable sur cette activité et à ses tarifs. Sa courbe de tarification me semble bien plus honnête, et proche de la réalité des montants nécessaires à la fabrication et distribution des livres.

En résumé

Renseignez-vous sur le prix public normal pour le format de livre que vous visez. Puis faites une étude comparative des différents services d’impression à la demande qui existent. Évitez les politiques tarifaires irréalistes qui ne vous aideront pas à développer votre activité.

Et idéalement, restez libre de changer de prestataire à tout moment. Ne soyez pas captif / captive d’un unique prestataire. Vous pourrez ainsi mieux faire jouer la concurrence.

Notes

  1. J’ai écrit cet article un an avant de le publier. Je ne savais pas encore que TNBS1 allait faire 404 pages… ↩︎

Liste d’imprimeurs pour l’auto-édition

Celles et ceux qui vivent en France métropolitaine et qui souhaiteraient se faire imprimer un livre, trouveront ci-dessous une petite liste d’imprimeurs qui pourraient répondre à leurs attentes.

Pour apparaitre sur cette liste, tous ces imprimeurs ont été contactés par ma personne, et ont rempli l’une des conditions suivantes :

  1. Avoir étudié mon projet, et avoir répondu sur la faisabilité.
  2. Avoir proposé un devis.
  3. Disposer d’un système automatisé permettant un devis automatisé.
  4. Afficher une politique tarifaire librement accessible.

Les imprimeurs ne figurant pas sur cette liste, soit je ne les connais pas, soit je n’ai pas obtenu de réponse un minimum satisfaisant, positif ou négatif, soit n’ont pas été contactés du tout pour diverses raisons. Ça ne veut pas dire qu’ils sont mauvais !

Par chauvinisme, les imprimeurs siégeant en France sont en premier. (Mais ça ne garantit pas qu’ils impriment en France.)

J’ai indiqué la méthode permettant d’obtenir soit un devis, soit une estimation du projet :

  • libre : formulaire en ligne, informations librement accessibles sans création de compte. C’est très cool !
  • humain : prise de contact par courriel, téléphone, expression du besoin en toutes lettres (grammage, papier, couverture, etc.). Faut oser les contacter !
  • compte nécessaire : création de compte, processus complexe menant au prix calculé en fonction des options sélectionnées. C’est chiant, parce que c’est potentiellement du temps perdu pour un compte qui ne servira pas.

Les imprimeurs !

www.print-team.frPrintteam : votre imprimeur professionnel pour toutes vos impressions professionnelles - Print TeamAvec plus 25 ans d'expérience, Printteam votre imprimeur professionnel basé à Nîmes, vous propose ses services d'impression livre, beaux livres, catalogues, magazines et brochures avec un rapport qualité/prix très compétitif.

❓ Question aux #photographes

Il y a quelques années j’ai fait des
#impression photos sur dibon via le site zor.com et j’en était content.

J’ai envie d’imprimer de nouvelles
#photos, mais les avis client sur ce site ont l’air de s’être sacrément dégradé…
(ça parle de commandes non honoré et aucune réponses par le service client)

Est‑ce que vous avez des recommandations pour faire imprimer des photos sur support rigide à des tarifs intéressant ?

:boost_requested:

"A Tale of a Girl and a Peacock," Petro Kholodny, 1916.

Ukrainian Kholodny (1876-1930; sometimes spelled Kholodnyi) was also a prominent chemist who experimented with paints and tints.

This is an early work, heavily influenced by Impressionism but with a unique Ukrainian style. Although the image might seem hazy, it's actually intricately detailed if you zoom in. The exact meaning of the scene is unknown, but it shows young woman comparing a flower and a peacock feather, while the peacock stands before her. Is she contemplating beauty, or a transitory existence as opposed to temptation by the peacock? One could speculate all day.

Later in life, his style became heavily influenced by Byzantine icons. His son, also named Petro, became a noted artist, who left Ukraine soon after the October Revolution and eventually came to the U.S. in 1950.

From the National Art Museum of Ukraine, Kyiv.