Les libertaires sont souvent qualifié·e·s de « petit·e·s bourgeois·e·s ». Pas complètement faux. Se préoccuper de liberté, d’intimité, d’autonomie, est souvent un luxe réservé à celleux qui n’ont pas à se soucier de leur survie matérielle.
C’est donc à celleux qui ont les moyens de se préoccuper de ces questions de faire les efforts pour l’émancipation numérique. Sans exiger des autres encore davantage de sacrifices, sans leur imposer nos priorités, sans nous prendre pour une avant-garde.